Nos demandes

Messages principaux

    1. Nous demandons au directeur national de Santé publique, le Dr Luc Boileau, de ne pas autoriser un site d’injection supervisé à la Maison Benoit Labre.
    2. Au nom de l’OPP, nous demandons également une rencontre urgente avec le ministre responsable des services sociaux. M. Lionel Carmant, en compagnie du Dr Boileau, pour les sensibiliser à l’absence totale d’acceptabilité sociale de la part du milieu.
    3. Nous exigeons l’arrêt de ce projet insensé, car il ne bénéficie d’aucune acceptabilité par le milieu (commerces, résidents, parents d’élèves).

Messages secondaires

    1. Le Dr Boileau a le devoir de considérer l’ensemble des facteurs sociaux et environnementaux avant de rendre sa décision. Visiblement, les acteurs derrière ce projet ont adopté une vision en tunnel en ne considérant que les impacts du SIS sur la clientèle visée.
    2. L’OPP a pris connaissance des conclusions d’une étude qui a été rendue publique ce matin et qui fait état du profil sociodémographique du voisinage, de la littérature scientifique sur les sites d’injections supervisés ailleurs au pays et sur l’impact du sentiment d’insécurité de la proximité d’un SIS sur les enfants. La coalition constate que la Santé publique du Québec s’apprête à prendre une décision sans avoir en main les données probantes sur les conséquences de l’installation d’un tel site sur son milieu, notamment auprès des enfants.
    3. On se demande pourquoi le gouvernement de la CAQ, qui s’était opposé à la présence d’un SIS à 200 mètres de l’école Marguerite-Bourgeoys en 2017, semble vouloir faire volte-face devant les pressions du député de Québec Solidaire de la circonscription qui appuie ce projet.
    4. Messages des commerçants : nous dénonçons le manque de transparence de ce processus qui s’est déroulé dans notre dos.

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